Depuis une dizaine d’années, la question de la gestation par autrui (GPA) ou maternité de substitution a pris de l’ampleur.

Revendiquée pour des cas de stérilité féminine liée à des dysfonctionnements de l’utérus mais également par des hommes seuls ou en couple de même sexe, cette pratique n’est pas sans conséquence sur la mère porteuse et sur l’enfant.